Le développement durable peut se décliner dans tous les aspects de notre quotidien : déplacements, logement, qualité de l’environnement...
La Commune se doit d'être exemplaire et de sensibiliser les citoyens à ces enjeux primordiaux pour la planète !
Quelques astuces pour préserver l'environnement et réduire vos déchets et vos factures.
Tout le monde peut réduire sa consommation d'énergie en adoptant des gestes simples. La preuve, les 90 familles-témoins de l'Ain engagées dans le concours "Familles à énergie positive en 2011" sont arrivées en tête des 6 départements rhônalpins avec 23,6 % d'économies d'énergie. L’équipe Mézériat-Vonnas pour le climat termine sur la septième marche avec 16,2% mais au 62e rang national sur 120 équipes engagées au total.
Chacun de nous consomme en moyenne 200 litres d’eau par jour. En modifiant nos habitudes, nous pouvons réduire notre consommation de 30 % !
La création du Syndicat Mixte Veyle Vivante et la mise en œuvre du Contrat de Rivière ont été des moments politiques importants et novateurs sur notre territoire. De nombreux projets ont été menés à bien.
Il est composé de 49 délégués syndicaux titulaires (+ 49 suppléants) désignés par les 3 EPCI adhérentes au syndicat de la façon suivante : 16 délégués pour la Communauté de Communes de la Veyle, 17 délégués pour la Communauté de Communes de la Dombes et 16 délégués pour la Communauté d'Agglomération du Bassin de Bourg-en-Bresse.
Il se réunit 4 à 5 fois par an, en fonction de l’actualité du syndicat.
Le comité syndical est renouvelé tous les 6 ans lors des élections municipales. Lors de sa mise en place le comité syndical procède à l'élection de son bureau exécutif.
Ce bureau est actuellement constitué d'un Président, de 3 Vice-Présidents, de 3 membres de la C.C.V., de 3 membres de la C.C.D. et de 1 membre de la C.A.B.B.B.
L’idée de la mise en place d’un contrat de rivière date de 1998, époque à laquelle plusieurs réunions d’information et de réflexion regroupant les trois anciens syndicats intercommunaux de curage (de la fusion desquels sera issue l'actuel syndicat), les communes, la DDAF, le Conseil Général, le Conseil Régional et l’Agence de l’Eau ont eu lieu afin de résoudre les différents problèmes liés à la Veyle.
Vous pouvez consulter le travail important du Syndicat Mixte Veyle Vivante sur leur site internet : Veyle Vivante
On peut consulter le Portail du bassin Rhône-Méditerranée qui regroupe les informations et les données sur l'eau et les milieux aquatiques produites par les services publics (Etat, Agence de l'eau) des 5 régions de son territoire : Portail Bassin Rhône-Méditerranée
ou même directement le site dédié à la qualité des eaux de rivières :
Qualité eaux de rivières
On peut consulter sur le site internet du Ministère chargé de la santé :
Qualité eau du robinet
L'eau de pluie est idéale pour les cultures car elle est non chlorée et gratuite. Pour faire des économies sur votre facture d’eau tout en récoltant de beaux légumes et de belles fleurs, vous pouvez récupérer l’eau de pluie en achetant un collecteur d’eau.
Il en existe désormais de toute taille et de toute forme : simple cuve, colonne romaine, tonneau sur socle...
L'ambroisie à feuille d’armoise (en latin, Ambrosia artemisiifolia L) est une plante invasive originaire d’Amérique du nord, apparue en France en 1863 et attestée dans le département de l’Ain dès 1908 à Pont d’Ain (sources : Bruno Chauvel, INRA). Cette plante a su faire sa place dans notre département pour coloniser aujourd’hui l’ensemble de nos plaines.
En Rhône-Alpes, une personne sur 10 est allergique à ce pollen. Quelques grains de pollen par m3 d'air suffisent pour faire apparaitre les symptômes : rhinite, conjonctivite, trachéite, asthme, urticaire, eczéma, etc.…Le pic pollinique a lieu généralement en août et septembre.
Pour la région Rhône-Alpes, les coûts de santé, calculés à partir des remboursements de dépenses de soins et des arrêts de travail sont estimés pour l’année 2011 (hors MSA) entre 14 et 20 millions d’euros (Etude ARS ambroisie en région Rhône-Alpes, mars 2012).
L’infestation de nos campagnes par l’Ambroisie n’est pas une fatalité. La plante étant annuelle, la seule forme de résistance en hiver est la graine (durée de germination supérieure à 20 ans). Les seuls vecteurs de dispersion des graines sont l’eau de ruissellement, le déplacement de terre contaminée et les engins agricoles et de travaux public.
L’ambroisie n’aimant pas la concurrence, elle se développera uniquement sur sols à faible couvert végétal.
La lutte contre l’ambroisie est l’affaire de tous. L’arrêté préfectoral du 10 avril 2009 impose la destruction de l’Ambroisie avant floraison, c'est-à-dire avant juillet. Le maire est chargé de l’application de cette réglementation.
La lutte préventive repose sur la précaution relative à la dispersion des graines (déplacement de terres contaminées) et sur le maintien du couvert végétal des sols.
En ce qui concerne la lutte curative, elle doit être adaptée au cas par cas : arrachage, fauche ou broyage ou désherbage chimique (en dernier recours). A noter qu’une repousse est quasi systématique en cas de coupe ou un broyage précoce.
En agriculture, de nombreuses techniques existent. Ne pas hésiter à interroger la chambre d’agriculture.
D’après l’arrêté préfectoral du 10 avril 2009, il revient aux occupants de terrains (locataires, ayants-droit ou occupants à quelque titre que ce soit) ou à défaut aux propriétaires, de prévenir la pousse de l'ambroisie et de la détruire là où elle pousse.
Sur le territoire communal, un(e) référent(e) est désigné par le Maire. Ce référent est votre interlocuteur pour vous aider à la reconnaitre et vous conseiller dans la lutte, mais le Maire reste le seul responsable juridiquement.
Dans le département de l’AIN, à l’initiative de Monsieur le Préfet, un comité départemental de lutte contre l’ambroisie a été mis en place le 15 octobre 2012. Composé, entre autres, des représentants des collectivités, des sociétés gestionnaires des infrastructures, des représentants du monde agricole, d’associations de malades et de protection de l’environnement, d’élus et de référents communaux, il doit élaborer, pour 2013, un plan d’actions départemental de lutte contre l’ambroisie.
Une journée européenne de lutte contre l’ambroisie a eu lieu le 23 juin 2012 sur plusieurs communes de l’Ain. Celle-ci est reconduite, chaque année, le premier samedi de l’été. Cette journée est idéale pour présenter la plante et pratiquer l’arrachage avec la population.
La lutte contre l’ambroisie est l’affaire de tous. Nous n’en viendrons pas à bout sans votre vigilance et sans aide. En avril, les premières plantules d’ambroisie se détacheront du sol, nous aurons alors 3 à 4 mois pour la détruire. Ensemble empêchons-la de fleurir !
Si vous apercevez des pieds d'ambroisie, signalez-les à la mairie, à notre référent Philippe CHAMBOUVET.
Un site internet spécifique à l’ambroisie a été mis en place à l'initiative de la DRASS Rhône-Alpes et du Conseil Régional Rhône-Alpes en partenariat avec le RNSA (Réseau National de Surveillance Aérobiologique) : Ambroisie
Le collectif "Ensemble contre le frelon asiatique" regroupe toutes les associations apicoles du département de l'Ain (syndicales, sanitaires, amateurs ou professionnels) dans un objectif commun : lutter efficacement contre cet insecte indésirable. Le collectif est coordonné par le Groupement de Défense Sanitaire de l'Ain (GDS01).
Le frelon asiatique est un insecte originaire d'Asie, arrivé en France en 2004 où il n'a pas de prédateur naturel. De ce fait et grâce à ses bonnes facultés d'adaptation, il prospère dans nos écosystèmes. Sa présence aujourd'hui pose 3 enjeux d'envergure :
→ Un enjeu APICOLE : le frelon asiatique est un prédateur d'abeilles dont il tire une ressource de protéines important pour la croissance de sa colonie. Ainsi, il met à mal toute l'activité apicole, amatrice ou professionnelle et le pouvoir pollinisateur qu'elle génère ;
→ Un enjeu SOCIETAL : comme pour son cousin européen, les piqûres de frelon asiatique sont dangereuses pour l'homme, encore plus en cas d'allergie. Il en résulte un enjeu fort de protection des populations locales ;
→ Un enjeu ENVIRONNEMENTAL : le frelon asiatique est un prédateur de nombreuses espèces locales d'insectes, entrainant une perturbation de nos écosystèmes locaux en détruisant des espèces utiles (en particulier des pollinisateurs) et en appauvrissant la biodiversité locale.
Les premiers individus ont été repérés en 2015 à Pérouges. Depuis, il n'a cessé d'étendre sa répartition géographique. En 2020 et 2021, ce sont plus de 200 nids de frelons asiatiques qui ont été découverts dans l'Ain.
La lutte collective permet de contenir l'invasion. En effet, dans les départements de l'ouest de la France, où le frelon asiatique est arrivé plus tôt, avant que la lutte ne soit organisée, ce sont plusieurs milliers de nids qui sont découverts chaque année.
Un dispositif de surveillance et de lutte, piloté par la FRGDS3, vise à repérer et faire détruire les nids par des entreprises spécialisées avant la sortie des fondatrices (à la fin de l’automne), afin de maintenir la population de frelons asiatiques à un niveau acceptable.
Deux types de nids peuvent être observés au cours de l’année :
- Les nids primaires : visibles dès les premiers beaux jours, au printemps,
- Les nids secondaires : visibles dès le début de l’été, correspondant à une délocalisation de la colonie qui abandonne le nid primaire, trop petit.
Toute personne suspectant la présence d’un frelon asiatique est invitée à en faire le signalement sur la plateforme de signalement en ligne : FRELONS ASIATIQUES
Il est donc essentiel de déclarer, nous comptons sur vous !
L'Agenge Locale de l'Energie et du Climat de l'Ain est une structure indépendante au service des habitants du département.
Cette agence vous donnera des conseils en matière :
L'objectif final de cette structure est de favoriser la réduction des émissions de gaz à effet de serre et donc d'aider tout un chacun à lutter à son échelle contre le réchauffement climatique.
Pour en savoir plus : ALEC01
Les tonnages de déchets verts collectés sur les quatre déchetteries du SMIDOM sont en constante augmentation et approchent des 5000 tonnes.
En principe, plus de 80% de ces matières organiques pourraient être valorisées au jardin. Pour y parvenir, des gestes simples existent comme le compostage, le paillage, le mulching et bien d’autres.
Pour vous permettre d’intégrer cette démarche, la commune de MEZERIAT met à votre disposition un service de broyage des branches à domicile. Vous obtiendrez ainsi du broyat qui vous permettra de réaliser un compost de qualité et/ou un paillage efficace.
• Broyer pour obtenir du broyat, une matière sèche et fibreuse nécessaire à la création de compost de qualité (à mélanger avec les déchets de cuisine et quelques branchages).
• Broyer pour pouvoir valoriser toutes les matières organiques à domicile.
• Broyer : une alternative au feu, le brûlage étant interdit par arrêté préfectoral.
• Broyer pour gagner du temps et se dispenser des trajets à la déchetterie.
Le service proposé est payant, il consiste à broyer des déchets verts issus de la taille d’arbustes et/ou d’arbres pour les habitants du territoire de la commune. Le service est assuré exclusivement à destination des particuliers, soit tout ménage résidant sur le territoire de MEZERIAT. Les professionnels sont exclus de ce service.
La prestation de broyage est limitée à 25 m3 de branchages par intervention ou à l’atteinte de la durée limite expliquée ci-dessous.Les équipes sont autorisées au maximum d’intervenir pour 25 m3 ou 2 heures.L’intervention sera réalisée selon un calendrier défini par la commune. Deux campagnes de broyage seront prévues chaque année :
• une au printemps de février à mi-mars,
• une à l’automne de mi-octobre à mi-novembre.
Les plages horaires sont les suivantes : 9h00-11h30 et 14h00-16h30.
Les dates et plages horaires seront confirmées par voie d'affichage et sur Panneaupocket avant chaque saison.
Consultez le règlement : Règlement
Téléchargez le formulaire d'inscription : Formulaire